MOI QUI KIFFE  TOI QUI KISS

Yo sister

C’est quoi toutes ces rondeurs

Qu’affolent tous mes compteurs

Yo sister

C’est quoi toute cette candeur

Qui s’tripote mon p’tit cœur

Yo sister

C’est quoi cette moiteur

Qui trempe ma bonne humeur

Yo sister

C’est quoi cette petite fleur

Qui parfume ma langueur

Yo sister

C’est quoi cette blancheur

Qui m’noircit  en pêcheur

Yo sister

C’est quoi qui m’turlupine

C’est toi qui me mutine

Yo sister yo

Petite chair Aaahha canon

De beauté ma gorgée

A déguster lamper

Sans modéra-ti-on

Yo sister yo

Sur mon zinc ‘genouillée

Décolleté c’est ma tournée

Yo sister yo

Au bar de ta poitrine

J’me fais du lèche-vitrines

Yo sister yo

Que ne sucé-je ton petit lait

Yoyo sister yo

Que ne lapais-je ton humiditai

Yo sister yo

C’est moi que je frémisse

Aux prémices de tes cuisses

Grosse invite à m’immisce

Et tu t’plisses et j’m’y glisse

Yo sister yo

Ce p’tit fruit friandisse

C’est le corps du délice

Yo sister yo

Pour ma pomme j’paradisse

Et je tombe et j’dévisse

Yo sister yo

C’est quoi que tu me fisses

Yoyo sister yo

Moi qui kiffe toi qui kiss

 Moi qui kiffe toi qui kiss

Moi qui kiffe toi qui kiss

(bis)

Peau-Aime qui s’extrait  des « Supinatrices »

Comme méraptaphore de « Hon », la plus grande des Nanas

de Niki de Saint Phalle

(Moderna Museet Stockholm 1966)

Dans laquelle j’aurais bien aimé pénétrer … avec toi pour t’y inviter au bar sous le sein gauche !!!*

* accessoirement malheureusement seulement couverture du livre de Nick Coper … mais quand même bien à l’intérieur aussi !!!

allez vous faire fourbir en métaphores vives sur:

lessupinatricesdenickcoper.blogspot.com